L’ identité sociale des jeunnes dans les « quartiers sensibles ». Étude de cas: la Roumanie.
Miron Luminita
Last modified: 2011-12-22
Abstract
La théorie de l’identité sociale est une méthode qui nous permet d’analyser comment nous comprenons « les autres », comment les personnes d’un groupe social interagissent avec celles d’un autre groupe social et réagissent par rapport à elles. C’est une théorie largement utilisée pour expliquer comment les groupes minoritaires sont traités par les groupes majoritaires, sachant que les groupes minoritaires en question se distinguent fréquemment par l’usage d’une langue et d’une culture différentes (Tajfel, 1981).
Dans ce contexte on a mené une étude qualitative sur la socialisation des jeunes filles et des jeunes garçons dans les quartiers et sur leur rapport avec l’espace public. Cette étude s’est déroulée dans le grand quartier en politique de la ville de Galati, Micro 40, qui concentre une grande partie de l’habitat social de la ville. Géographiquement, il est situé au delà du périphérique qui entoure le coeur de la ville. On y retrouve les caractéristiques des « banlieues » et le quartier est situé à l’extérieur de la commune.
Les principaux objectifs du travail de recherche qu’on a mené ont été d’explorer les modalités de reproduction des rapports sociaux de genre dans les quartiers sensibles et d’essayer de comprendre les effets de genre dans l’analyse des violences que pouvaient subir les jeunes filles, en essayant d’articuler les dimensions publique et privée.
Dans ce contexte on a mené une étude qualitative sur la socialisation des jeunes filles et des jeunes garçons dans les quartiers et sur leur rapport avec l’espace public. Cette étude s’est déroulée dans le grand quartier en politique de la ville de Galati, Micro 40, qui concentre une grande partie de l’habitat social de la ville. Géographiquement, il est situé au delà du périphérique qui entoure le coeur de la ville. On y retrouve les caractéristiques des « banlieues » et le quartier est situé à l’extérieur de la commune.
Les principaux objectifs du travail de recherche qu’on a mené ont été d’explorer les modalités de reproduction des rapports sociaux de genre dans les quartiers sensibles et d’essayer de comprendre les effets de genre dans l’analyse des violences que pouvaient subir les jeunes filles, en essayant d’articuler les dimensions publique et privée.